Performances et utilisation des balises de détresse
publié le 10 Avril 2014 20:07
A la suite des réflexions que j'ai entreprises à l'occasion du drame de la disparition de Grain de soleil (voir mon fil du 26/7/13) je soumets à la discussion du forum le résultat de mon travail dans la note jointe dans le lien ci-dessous.
J'ai eu quelques échanges au cours de ce travail avec Pacolarahm et François Michel que je remercie.
Cordialement.
Artimon
J'ai eu quelques échanges au cours de ce travail avec Pacolarahm et François Michel que je remercie.
Cordialement.
Artimon
http://artimon1.free.fr/PERFORMANCES%20ET%20UTILISATION%20DES%20BALISES%20DE%20DETRESSE.doc
Merci pour cette mise au point
Cdlt
YA
Merci pour cet article très documenté qui aurait sa place dans le Dossier Sécurité.
Et qui mérite d' "être à la (h)une" quelque temps
Bonne navigation
Philippe
Bravo, excellent papier.
La sécurité et la vie n'a pas de prix.
De plus la VHF portable peut maintenant être ASN.
Cdt
Claude
Très beau boulot.
Il mériterait d'être édité sous forme de "dossier".
et peut-être des croquis et un tableau comparatif?
Je m'aperçois qu'il y a une coquille dans l'adresse de mon site.
L'adresse correcte est artimon1.free.fr
Artimon
artimon1.free.fr
Merci pour cet excellent résumé.
Comme tout équipement de sécurité, le prix parait élevé... mais dérisoire si l'on doit l'utiliser!
Cordilalement,
Piou
Bravo pour cet article, très technique mais qui est clair.
Bien documenté ! Je voudrais apporter ma contribution et mon expérience :
- en ce qui concerne les PLB, il en existe de 2 sortes : CATEGORIE 1 ou CATEGORIE 2. Les premières ont des caractéristiques physiques proches des EPIRB (flottabilité et autonomie), mais surtout peuvent être codées au MMSI du bateau (avec un rang inférieur à l'EPIRB). Ca n'est pas le cas des secondes qu'il faut enregistrer soi même auprès du CNES (pour la France). Ceci est important, car elle apparait sur la licence radio et c'est l'ANFR qui est l'interface avec le segment SARSAT-COSPAS pour la tenue de la base de données mondiale.
- les balises personnelles de type MOB AIS, ont une utilité certaine pour la recherche et le sauvetage, mais attention, elles ne se déclenchent pas automatiquement lors d'une chute à la mer, même s'il existe des systèmes sur les gilets autogonflants. Mais cela dépend uniquement de la qualité du brêlage de la balise sur le gilet et ça me parait un peu aléatoire.
- une dernière remarque : en cas d'homme à la mer, je suis partisan de déclencher la balise (ou une détresse par le moyen approprié) avant toute tentative de récupération. Il est facile d'annuler la détresse si la récupération s'est bien déroulée en appelant Griz-Nez ou FMCC Toulouse.
Merci de ces précisions car effectivement les équipements évoluent vite. Mais je suppose qu'une PLB catégorie 1 n'a pas une antenne comparable à une EPIRB et doit supporter les mêmes contraintes d'émission difficile en ambiance plus que mouillée que celles d'un fabricant que j'ai cité dans ma note. Si c'est bien le cas je ne pense pas qu'arbitrer une EPIRB contre une PLB catégorie 1 soit un bon plan. Une PLB est certainement très précieuse pour un Homme à la mer mais pour la détresse d'un équipage sur un bateau ou dans une survie l'EPIRB offre certainement une fiabilité de transmission nettement meilleure. Il est à noter évidemment que cet arbitrage n'aurait de sens qu'en embarquant une PLB par équipier.
Ce serait intéressant que ceux qui ont une expérience ou des informations valident ce point.
Cordialement. Artimon.